Eleonara D. Calderini
Messages : 3 Date d'inscription : 16/05/2010
| Sujet: I'M ON THE PURSUIT OF HAPPYNESS ♣ eleonara. Dim 16 Mai - 4:49 | |
| ELEONARA DOLCE CALDERINI « J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était ça la liberté. » FIGHT CLUB. © Desintregation INTRODUCE YOURSELF Si je suis bien fière d'une chose c'est de mon père. Lui qui m'a donné tant de choses et surtout mes origines. Calderini en plus de ressembler fortement à Calder, peintre et sculpteur que j'admire, est à forte consonance italienne. C'est comme un plus pour moi, on dit souvent que les Italiens ont un fort caractère je crois que je suis inéluctable la règle. Je n'ai jamais vécu à Rome, ville natale de mon paternel, mais toujours à Londres au milieu de la bourgeoisie anglaise, monde dans lequel - il faut le dire - je ne me suis jamais sentie à l'aise. Alors oui, c'est certain, j'ai de l'argent, mes parents en ont. Mais je ne dépense pas sans compter, je suis quelqu'un de prudent et d'assez réfléchit pour ne pas abuser des bonnes choses. J'ai vingt ans, un âge volage, un âge qui signe une dizaine de plus, un âge qui m'approche de plus en plus du monde des adultes. Un âge que j'assume totalement parce que maintenant, je me sais plus mature qu'il y a deux ans. Je suis étudiante en psychologie mais je le fais plus pour l'honneur de ma famille que par envie. Si on m'avait laissé totalement le choix j'aurais fait histoire de l'art ou archéologie. J'ai débarqué à Bristol, ville des fantasmes et de frasques en tout genre, pour y suivre mes études. J'étais avide de liberté et c'était comme une nouvelle conquête. J'avais dix-huit ans et je n'étais pas préparée à tout affronter. Cela fait deux ans que je vis au rythme de cette ville qui dort le jour et vit la nuit et le quotidien n'est jamais banal ou routinier, ça non. QUESTION TIME 1. Bristol en un mot pour vous ? Frivolité.
2. Vous considérez-vous comme quelqu'un de déjanté? Je pense que tout le monde a sa part de démence, moi y compris seulement elle a mis des années à ressortir. La tour d'ivoire dans laquelle j'ai été élevée m'a empêché pendant un certain temps de montrer mon goût pour la vie et ce côté déjanté de moi. Ma fille avant Bristol c'était comme les couverts de l'hôtel Crillon ou le Ritz, impeccablement rangé, rien qui ne doit dépasser et tout dans l'ordre. Puis j'ai grandi et mûri par la même occasion et je me suis aperçu que ce n'était pas une vie, toute cette sagesse et ce monde parfait bâti autour de moi ... Le temps de la rébellion avait commencé, c'était l'heure de sortir du cocon familial de luxe pour partir vers les joies de la jeunesse, la vraie vie, Bristol. Ici je me sens libérée, différente et oui, déjantée. Il suffit d'un rien pour être dans l'excès et je dois dire que ça fait un bien fou. Je suis quelqu'un d'autre, je me rend compte un peu plus chaque jour qu'il n'y avait aucune raison pour que ce monde ne s'offre pas à moi. Je dois en profiter quitte à laisser tomber tous les grands principes de ma famille.
3. Quelle sorte d'alcool consommez-vous? C'est un sujet qui m'énerve parce qu'il fait ressortir en moi le côté préservé du monde que j'ai eu à cause de mon éducation plus que pointilleuse. Mes parents m'ont mis dans des soirées mondaines où martini rouge et champagne coulaient à flot et je suis obligée d'avouer que ces deux alcools sont délicieux, fins, raffinés et me rappelle mais anciens amis de légère débauche. Oui, au début j'arrivais à me saouler au champagne-sirop-de-violettes. Et puis j'ai découvert ce qu'était vraiment cette substance qui vous terrasse après plus de dix gorgées, ce poison dans lequel, une fois que vous avez trempé vos lèvres vous ne savez plus vous en détacher. J'affectionne la vodka parce qu'elle me fait perdre la tête ,mais je n'aime pas son coup, trop brut pour moi. Je reste adepte des margarita ou manzana.
4. Et de drogues? Je n'ai pas honte de dire que la drogue et moi on n'est pas bons amis. Évidemment on s'est déjà rencontré et ça plus d'une fois mais j'avais avec plaisir. Les fois où j'ai touché à la poudre blanche qui vous fait perdre tout sens des réalités c'était pendant de mauvaises passes de ma vie, des moments où j'aurais été prête à tout pour tout oublier rien qu'une fraction de secondes. C'était quand j'habitais encore à Londres, mes amis et moi on était un peu bornés, un peu stupides et on aimait faire le contraire de ce qu'on nous disait. On était les oiseaux noirs de cette société qu'était la bourgeoisie anglo-italienne, mais on faisait tout ça en douce : et ouais le courage et nous ça fait dix mille. Et puis Bristol. Une révolution pour moi, mais ce n'est pas pour autant que je me suis mise à me droguer souvent, au contraire. J'ai vu des gens mourir d'overdose devant mes yeux et ça m'a tout de suite calmé. Alors très occasionnellement et encore ..
5. Vous ne sortez jamais sans... 6. À quel âge avez-vous perdu votre virginité? 7. La chanson qui vous caractérise le mieux: 8. Votre plus grand fantasme:
HERE'S THE STORY
[IMG][/IMG] Votre histoire ou une anecdote importante de votre vie. 20 lignes minimum.
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Dernière édition par Eleonara D. Calderini le Dim 16 Mai - 12:56, édité 4 fois | |
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Charlie Emerson-Dubthaig DESTROYING BITCH ♣ This must be what going mad feels like.
Messages : 245 Date d'inscription : 07/05/2010
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| Sujet: Re: I'M ON THE PURSUIT OF HAPPYNESS ♣ eleonara. Dim 16 Mai - 13:34 | |
| young folk . Bienvenue et je te réserve leighton . | |
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Mary B. Sômahan DESIRE ♣ I know you've suffered
Messages : 95 Date d'inscription : 16/05/2010 Age : 31
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Garance S. Traïkovski
Messages : 61 Date d'inscription : 16/05/2010 Age : 30
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| Sujet: Re: I'M ON THE PURSUIT OF HAPPYNESS ♣ eleonara. Dim 16 Mai - 18:49 | |
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Jersey J. Whealer
Messages : 47 Date d'inscription : 16/05/2010
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| Sujet: Re: I'M ON THE PURSUIT OF HAPPYNESS ♣ eleonara. | |
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