I\'M ONLY HUMAN ♦ noelline duchannes pierce

INTRODUCE YOURSELF Her name is Noelline Ama Duchannes Pierce. Elle porte deux noms de famille dans un seul but, celui de sa mère et celui de son père, pas de jaloux. Noelline a exactement vingt ans et deux mois, elle est née avec le solstice d\'été. Elle aime les chevaux, faire la fête mais pas trop, travailler dure pour obtenir ce qu\'elle veut. Elle est une des célibataires endurcis du coin, eh bien oui, Noelline a toujours véçu des choses incroyables avec les garçons mais vous n\'y croiriez pas si vous appreniez qu\'elle a été enceinte. (secret défense normalement).

QUESTION TIME
1. Bristol en un mot pour vous ? Bristol, c\'est pas n\'importe quoi, héhé.
2. Vous considérez-vous comme quelqu\'un de déjanté? Cela dépend. Si j\'ai bu de l\'alcool, je le suis. Si je n\'en bois pas tout va bien, cependant j\'ai un air de déjanté.
3. Quelle sorte d\'alcool consommez-vous? Eh bien, je fais dans la vodka. Je bois de tout hein, mais la vodka j\'aime. Ce côté fort qui vous emporte, malgré le gout dégueulasse.
4. Et de drogues? Nope. Pas chez moi, mon p\'tit.
5. Vous ne sortez jamais sans... sans m\'être coiffer correctement les cheveux, quitte à rester une heure devant le miroir pour améliorer ma tignasse.
6. À quel âge avez-vous perdu votre virginité? Sans avoir honte, quinze ans et j\'en suis tombé enceinte, résultat originale ;D ?
7. La chanson qui vous caractérise le mieux: Bah, ca dépend enfaite.
8. Votre plus grand fantasme: Secret défense, chéry.

HERE'S THE STORY

« Eh bien. Par où commencez.
- Par le commencement mademoiselle Pierce.
- Monsieur, je sais que je dois commencer par le commencement, enfin soyez raisonnable, je suis dans une situation des plus complexes et je...
- Je ne vous le fait pas dire, qu\'allez vous faire ? Votre père sera fou de rage.
- MONSIEUR. C\'est à moi de parler non ? »

Ainsi. Le docteur n\'était pas sympathique mais il m\'annonça le pire du pire. « Mademoiselle Pierce ? Vous êtes enceinte. » Choc totale. Arrêt cardiaque. Pouls à 0. J\'aurais prié dieu pour qu\'il me tue tout de suite. Pourquoi c\'était à moi d\'endurer ça ? Enceinte à quinze ans. Non je suis désolé je ne peux pas.

« Je... Je n\'en veux pas monsieur.
- C\'est regrettable mais... vous ne pouvez que le garder, dans les circonstances où vous avez dépasser le délai pour pouvoir avorter, je ne vois pas d\'autres solutions.
- Que... quoi ? »

Comment ? Il me laissait comme ça, enceinte et sans moyen d'échapper à ma destinée. Jules. Il faut que je parle à Jules, il saura m'aider. Mais... si il fuit. Si il fut se sera un lâche comme tout les mecs d'ailleurs. Je connais déjà le refrain de mon père. « Tu partiras chez ta tante à Bristol et tu reviendras après la naissance et l'adoption de gamin. Tu es irresponsable ma fille, une gamine qui tombe enceinte à 15 ans, jamais vue ça. » C'était exactement ce qu'il me dit. Je pris le train pour Bristol quatre jours après. Je le hais, lui et tout les autres. Phoebe m'a laissé tomber comme-ci j'étais une trainée. Rachel m'a ignoré tellement elle avait honte. Pour couronner le tout, Jules n'a pas voulu m'adresser la parole, ah! comme-ci s'était ma faute. Pitoyable, ils sont tous pitoyables. Tante Maggy m'a accueillit à bras ouverts, c'est elle la plus compréhensible dans l'histoire. Elle m'a affirmé que si je voulais le garder j'en avais le droit et qu'elle serait ravie de me garder et de le garder pour que je fasse mes études.

« Tante Maggy, je ne peux pas.. Il faut que je retourne à Londres, bon sang.
- A ta guise mais tu verras pendant ses sept derniers mois que tu t'attacheras à lui.
- Ou peut-être pas. »

Les mois ont passés et il s'avérait que tante Maggy avait raison. Je ne comprenais pas ce sentiment qui m'envahissait, l'instinct maternel me remplissait chaque mois et mon coeur se brisa quand je due la faire adopter. Ma petite fille. Ses cheveux étaient d'un blond éclatant comme les miens et ses yeux bleus brillaient dans la lumière du jour. Tante Maggy disait que c'était mon portrait craché. C'est la que j'ai compris, je devais m'occuper d'elle, la garder auprès de moi, qu'importe ce que dirait père ou mère. Elle devait vivre avec sa mère, sa vraie mère, sa mère biologique. C'était ainsi que j'étais arrivé à rester à Bristol, j'avais laissé la petite à la famille adoptive mais je venais la voir de temps en temps. J'avais repris mes études et j'habitais chez tante Maggy.